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Champagne !

C’est avec le concours d’un scientifique spécialisé dans la gazéification de l’eau, Bernard Gallois, que le projet de Jean-Pierre Girard put prendre corps grâce à une technicité fondée sur les capacités acidifiantes du dioxyde de carbone. Pour fabriquer le SHP, le gazéificateur injecte donc du dioxyde de carbone dans l’eau de mer. Cela produit un diacide, l’acide carbonique : CO2 + H2O : H2CO3. 

La technicité du procédé de Bernard Gallois est de pouvoir mesurer avec une extrême précision la quantité de CO2 injectée dans l’eau de mer afin d’avoir un produit final dont le pH est adapté aux différentes utilisations thérapeutiques :

  • Un pH variant de 6,2 à 6,4 pour les soins des fosses nasales.
  • Un pH de 5,5 pour le conduit auditif et les usages dermatologiques.
  • Un pH de 4 pour l’hygiène intime.  

Les revendications du brevet ne sont donc pas simplement limitées à une application concernant la sphère O.R.L. (fosses nasales et conduit auditif) mais aussi pour la sphère buccale, les muqueuses intimes, le revêtement cutané : acné, psoriasis … 

On pourrait se poser raisonnablement une question : l’injection de CO2 dans l’eau de mer ne modifie-t-elle pas ses propriétés organoleptiques ? C’est la réponse à une seconde question qui répond à la première : à quoi doit-on l’effervescence du Champagne, ces bulles qui remontent à la surface de la coupe dans laquelle on le verse ? Au CO2, tout simplement, produit lors de la fermentation alcoolique en bouteilles fermées, qui n’altère en rien les vertus du Champagne, bien au contraire, qui le sublime. Ce qui est bon pour le Champagne est tout aussi bon pour le SHP !

Hommage à Jean-Pierre Girard

Pour obtenir un effet tampon capable de réduire l’hypertonicité du SHP (ramenant le pH de 8,2 à 6,2) il fallait trouver un processus biotechnologique NATUREL préservant ses composants tout en sublimant ses potentialités thérapeutiques. C’est le pionnier français de l’hygiène des fosses nasales, grâce à son brevet, déposé en 1976, utilisant de l’eau de mer en solution isotonique, qui a développé récemment le concept permettant de réaliser cette mise en conformité physiologique de l’eau de mer afin de produire ce SHP encore plus efficace que les produits initialement mis au point par lui il y a 44 ans. Il s’agit de Jean-Pierre Girard, reconnu dans le monde pharmaceutique pour ses compétences en matière naso-sanitaire. 

Réduction du pH

Le pH de l’eau de mer est alcalin : 8,2. Ce pH est supérieur à celui du plasma sanguin qui est de 7,4. Et très supérieur au pH des cellules des muqueuses des fosses nasales : 6,2 à 6,4. Afin de pouvoir utiliser le SERUM HYPERTONIQUE PHYSIOLOGIQUE, il est donc indispensable de réduire son pH en l’acidifiant. SOFTMER a mis au point pour ce faire un processus breveté innovant, en exclusivité mondiale.

Biotechnologie de Haute compétence

L’eau est puisée grâce à une biotechnologie de « Haute compétence » certifiée ISO 9001 à 22 m de profondeur avant d’être filtrée grâce à un procédé de clarification naturelle par le sable, puis par préfiltration et filtration à 1μm et 0.2 μm jusqu’à une précision de 32 microns pour éliminer les microparticules organiques, ne conservant que les éléments minéraux qui sont en solution dans cette eau d’une pureté absolue. Il importe que le SERUM HYPERTONIQUE PHYSIOLOGIQUE soit de l’eau de mer PURE, non diluée, à la concentration en sel stable, VIVANTE, naturellement bonifiée, sans traitement.